-
Je m'engage!
JE M’ENGAGE!Pourquoi!
S'engager, c'est d'abord et avant tout se lier par une promesse à améliorer la loi 125 sur la vie familiale.
C'est aussi, et cela souvent à partir des expériences vécu par les familles au Québec, œuvrer à combattre des injustices du système, des conditions de vie imposé par la loi 125 inacceptables, fauchent des milliers de vies familiales sans raisons pour le système à eux.
S'engager, c'est aussi sensibiliser la vie familiale comme les enfants, parents et grands-parents soient outillés contre les abus du système et la loi 125.
Il faut s'engagé à témoigner contre cette injustice sur la vie familiale et cette loi 125 qui donne le pouvoir d'abus avec l'immunité.
On ne peut pas les poursuives en justice sur leurs actes irrépréhensibles de mauvaise foi en vertu de leurs articles 39 ou 42 de croire un motif sans preuves raisonnables, juste le doute suffit pour atteindre la vie familiale au Québec.
Ils disent qu'ils sont des professionnels qui exercent leur profession de courte année d'entrainement avec leur loi 125 abusive sur nous pour nourrir leur système assoiffé de pouvoir.
C'est à nous de prendre nos destinés en main avec ardeur et dénoncer et dévoiler au grand jour l'injustice sur la vie familiale avec leur loi 125.
Si on encourage le diable qui voudrait encourager une vie de chagrin et briser la vie familiale avec leur loi 125.
Il nous faut amener à la lumière ce qui se cache en arrière de leur loi 125 sur la vie familiale.
Pourtant il y a des histoires à raconter sur la loi 125 avec des victimes familiales sur leurs abus 125.
C'est à nous de réagir et dénoncer tous ses abus de loi de protection 125 et de se préparer éventuellement avant qu'ils continuent à nous faire plus mal sur leurs malveillances de transformation et de modification avant qu'il soit trop tard.
Leur transformation n'est pas la réalité de leurs malveillances qui font des victimes et qu'ils subissent des injustices de leur part, juste aujourd'hui même.
Ils ne veulent pas et n'aiment pas qu'on les dénonce à tout prix avec nos délateurs, informateurs et nous même pour dire la réalité des choses.
La douleur ne doit plus se taire même si elle a la puissance d'éveiller des regrets.
Les seules armes qu'on puisse se servir contre eux avec leur loi 125 sur la vie familiale sont les faits, la vérité et la réalité des choses.
C'est devenue inhumain depuis longtemps et même trop longtemps.
Une enquête en profondeur s'impose à tout prix!
Trop souvent nos cris d'alarme ne sont pas attendu ni accueillis, il ne faut pas faire sa sourde oreille pour protéger l'intégrité des plaintes faites contre le système et leur loi 125 avec leurs lacunes et leurs maladresses.
Il faut accepter l'inacceptable de ces victimes familiales qui dénoncent tout avec tact et vérité.
Le système et leur loi 125, sont des bons manipulateurs qui se dissimule souvent sous différents masques pour arriver à leur but pour nous faire croire qu'ils sont transformés avec leur loi 125 sur la vie familiale.
Quelle honte!! Quels désarrois!! Et qu'elle corruption de leur part!!
La vie familiale ne vous croit plus sur la loi 125, vous êtes des bons chanteurs pour nous mettre un trappe à souris, mais on ne mord plus dans leurs histoires cachées à la population et de leur vrai nature.
Le contrôle, le dénigrement constant, le mensonge et la ruse, sont leurs outils de tous les jours.
Il faut amener à la lumière ce qui est caché. Faire connaître leurs vrais intentions, s'es-tu pour mieux nourrir leur budget et leurs finances sur le dos des citoyens Québécois avec nos taxes.
Quel gâchis!
M.Chel Réino
Tags : familiale, vie, loi, 125, systeme
-
Commentaires
Je trouve vos sites et vos blogues qu’il y a du bon sens. Je relève d’un calvaire qui dure depuis trop longtemps avec ces abuseurs la DPJ. Ils m’ont enlevée de ma famille bien aimer à l’âge de 11 et jamais eu la chance de voir mes parents après ça et pourtant c’étais des très bon parents et jamais ils m’ont fait du mal de façon comme la DPJ pense. Avec eux je n’ai pas le contrôle de ma vie et il veut faire de moi un de leur pour briser le cœur de d’autres ados comme moi et nos familles. Avec toute leur pression pour que je devienne un de leurs outils abusifs, je ne suis même pas sûre que mes pensées m’appartiennent. Aussi j’aimerai leur dire à ces briseurs de vie à quelle point je voudrais être libre. Libre d’aller et venir à mon gré et de penser pour moi-même. Je veux le contrôle de ma vie et c’est ma vie et je devrais en faire ce que je veux, mais ils m’ont pris ma jeunesse, ils m’ont pris ma liberté. Je sombre et je pense au suicide, ils m’ont tout enlevé, ma famille, ma liberté et mes pensées qui m’appartient. Qu’est qui me reste? Pas grand choses. C’est pour ça en ce jour du St. Valentin, je vous écris et sur tous vos sites pour dénoncé cet abus et je vous demande pour continuer à dénoncer comme vous le faites pour démontré qu’il n’y a pas de liberté de choix au Québec de vivre comme on le veut!
Mlle St. Valentine